C’est le nouveau chouchou des gamers sur Steam, mais Deadlock, le MOBA/FPS explosif de Valve, est-il déjà hors de contrôle ? Alors que le jeu cartonne en alpha fermée, attirant des hordes de joueurs chaque jour, une question se pose : le succès fulgurant de Deadlock est-il en train de lui nuire ?
Un raz-de-marée vidéoludique
Difficile de passer à côté du phénomène Deadlock. Le nouveau titre de Valve, mélange explosif de MOBA et de FPS, affole les compteurs Steam. En accès limité pour l’instant, le jeu s’arrache sous le manteau, les invitations s’échangeant comme des trésors. Résultat : près de 200 000 joueurs se connectent chaque jour pour tester ce potentiel futur géant du jeu compétitif.
L’envers du décor : triche et toxicité
Mais qui dit succès fulgurant dit forcément quelques accrocs. Sur le subreddit du jeu, les joueurs commencent à déchanter. Le problème ? Tricheurs et comportements toxiques gâchent l’expérience, même en phase d’alpha. Un mal récurrent dans l’univers des jeux compétitifs, mais d’autant plus frustrant que Deadlock est encore en développement.
Valve sur le front, mais pour combien de temps ?
Face à la gronde, Valve tente de rassurer. Des bannissements ont déjà été effectués et des améliorations sont promises. Le problème ? La priorité reste pour l’instant le développement et l’ouverture du jeu au plus grand nombre. Les systèmes anti-triche et de signalement, bien que prévus, ne sont pas encore opérationnels.
Un avenir prometteur, mais incertain
Difficile de prédire l’avenir de Deadlock. Valve n’a pas encore communiqué de date de fin pour l’alpha. Le jeu pourrait tout aussi bien sortir en version finale du jour au lendemain que rester en accès anticipé pendant encore de longs mois. Une chose est sûre : Deadlock a le potentiel pour devenir un acteur majeur de la scène e-sport, à l’instar de League of Legends ou Dota 2. Reste à savoir si Valve saura dompter ce succès fulgurant pour offrir aux joueurs une expérience à la hauteur de leurs attentes.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Le succès de Deadlock est-il mérité ?
